Ca a été une longue route. Il n’est pas toujours possible de se rappeler ou commence un voyage. Celui-ci a sans doute plusieurs points de départ.

il y a eu l’interview d’Internet Actu qui m’a permis de rassembler quelques idées sur ce que l’on appelait l’addiction aux jeux vidéo. j’ai discuté une bonne heure avec Hubert Guillaud, et il a eu la difficile tache de transcrire une pensée qui a tendance à faire rhizome.

Geneviève Lombard  a aussi été un élément déterminant. J’ai trouvé dans l’intérêt qu’elle qu’elle a envers l’Internet comme un miroir de mes propres investissements, et l’exemple d’une théorisation et d’une problématisation rigoureuses des questions que l’Internet pose aux psychanalystes.

Le groupe de travail du Quatrième Groupe Internet, Psychanalyse et Culture a été et reste un miroir subjectivant des

Le CMPP de Périgueux, le docteur Francis Remark, et tous les collègues ont également leur part. J’ai pu y mettre en place un groupe thérapeutique Jeux Vidéo et travailler dans le cadre de psychothérapies individuelles avec un ordinateur.

Les Carnets Psy et Sylvain Missonier font partie des bons augures qui se sont penchés sur mon travail, et j’en profite pour les remercier chaleureusement. Sylvain à été un pionnier dans la tâche de débroussaillage des savanes numériques et son travail compte beaucoup pour moi

L’OMNSH est une pépinière de chercheurs francophones. Les liens privilégiés que j’ai avec quelques uns et les relations de travail que j’ai avec tous se retrouveront sans doute dans le livre.

Le livre doit beaucoup à Serge Tisseron dont le travail est à mon sens la meilleure boite à outil pour comprendre ce que nous faisons avec les mondes numériques. Pour le dire simplement, je lui dois tout ce que j’écris sur les médiations numériques

Enfin, il y a tous les autres, les invisibles pourtant si présents dans le présent de l’écriture.

Merci.

Les jeux vidéo, ça rend pas idiot ! est écrit une langue que j’espère claire et sans détours. Elle va et vient entre la langue des gamers et celle de la psychologie. C’est un travail de l’entre deux dans lequel j’aime me retrouver. C’est aussi la place du numérique : ni tout à fait ici, ni tout à fait là-bas, mais parfaitement dans nos vies.