La formule consacrée selon laquelle nous sommes séparés les uns des autres par six degrés doit être maintenant révisée suite à une recherche menée par sur Facebook par des universitaires de Milan.
On doit les fameux 6 degrés à une expérience de Stanley Milgram menée en 1967 auprès de 296 volontaires qui devaient envoyer une lettre à une personne qu’ils ne connaissaient pas. La lettre voyageait d’amis en amis et en moyenne, elle arrivait à destination après 6 itérations, d’ou les fameux 6 degrés.
Les chercheurs milanais se sont servis de Facebook et son immense cohorte de 721 millions d’utilisateurs. D’après cette recherche, le monde vu depuis Facebook est encore plus petit qu’on ne le pensait car le nombre moyen de personnes qui sépare deux individus pris au hasard est de 4,74.. On apprend également que c’est un monde en évolution puisque en 2008, la distance moyenne entre deux individus était de 5,28. Si l’on ne considère que les individus d’un même pays, la distance diminue encore.
Ces résultats tendent à montrer que les utilisateurs font de plus en plus de liens sur Facebook. En effet, plus un monde est connecté, plus le degré de séparations entre deux points pris au hasard tend à diminuer
je me rapelle de vous, vous etiez mon ancien phsychologue de perigueux “anita” si vous vous rappeler bien monsieur leroux… je ovus ai appercu dans le journal au college “geo ado” c’est en meme temps pour vous passer le bonjour et bonne continuation. ^^
Cette interconnexion ne va t’elle pas nous étouffer ?
Je ne le pense pas : on trouve toujours des interstices.